1. |
Sans stress
05:09
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Vaut mieux être va-nu-pieds, que d’avoir trop de souliers
Anyway les cordonniers sont mal chaussés
J’veux me tirer une puff, l’autre se tire une balle
Esti que l’asphalte est sale, à soir
Je vais engager tous les concierges de la terre
Une armée pour balayer, le calvaire
Sans stress, j’ai pas vu le temps passer
Entre hier pi aujourd’hui
J’ai couru sous la pluie
Je me réchauffe dans ton lit
Sans stress
Mon cellulaire, a pu de batterie
Y faut faire bien les choses, Docteur augmente ma dose
J’ai besoin que les idées se juxtaposent
Mes nuits en mode et demie, l’existence engourdie
Je veux me battre, mais contre qui, esti
Je vais mettre feu à ton égo pi ta gloire
Réchauffer ceux qui campent sur les trottoires
Sans stress, j’ai pas vu le temps passer
Entre hier pi aujourd’hui
J’ai couru sous la pluie
Y’a pu de place dans ton lit
Sans stress
J’ai bu l’argent pour le taxi
Y’a aucun stress
Mon corps en boule, dans un taudis
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2. |
Saint-Songe
04:11
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L’espoir se trouve entre tes seins
Cage thoracique tu me détiens
Des ongles d’orteils au menton
Épiderme en ébullition
L’espoir se trouve entre mes mains
J’ai lu de belles lignes pour demain
Caressant ton corps de velours
Euphoriquement et sans détour
J’suis tombé par terre
6 pieds au-dessus de ma tête
Le songe s’est pas réveillé
La chambre est en tempête
Dure prise de conscience
L’espoir que j’ai vu en ton corps
M’a donné la soif d’y boire
Mirage désertique intérieur
Cactus pour mon gosier de fleur
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3. |
Matière grise
06:23
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Y faudrait prendre le bord
Faire sauter l’enveloppe du corps
Être ciel et terre en même temps
Voir au-delà de nos dedans
L’oisiveté m’enveloppe de ses ailes
Prison duveteuse éternelle
Absence de rigueur à l’ouvrage
Planifier l’évasion m’enrage
Le rythme augmente
Le temps diminue
Mes cellules se crinquent même pu
La réflexion fut mise à mort
L’intériorisation dehors
Des pages blanches sur matière grise
Toutes les idées se paralysent
Le rythme augmente
Le temps diminue
Mes cellules se crinquent même pu
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4. |
La peinture qui s'éteint
04:51
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La lumière qui s’effrite
En dedans de tes tripes
La peinture qui s’éteint
Sur les doigts de tes mains
Prends-le pas mal
Si la vie t’a volé
Tes années, ta fierté
Tes amours, tes torts
Messemble que le temps y va fort
Non, faut pas que tu y penses
À ce criss de non-sens
Qui gravite ton espace
Quand les larmes sur tes joues
S’écoulent tout à coup
Une rivière de détresse
Dans une mer de darkness
Est-ce que ton souvenir te reste
Est-ce que ton souvenir te reste
Prends-le pas mal
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5. |
tnieté’s iuq erutniep aL
04:51
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6. |
esirg erèitaM
06:23
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7. |
egnoS-tniaS
04:11
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8. |
sserts snaS
05:09
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Pastel Barbo Quebec City, Québec
Projet indie-psychédélique de la ville de Québec, Pastel Barbo c’est l’entité aux multiples visages dont se sert l’auteur- compositeur-interprète Gabriel Brisson pour se mettre au monde en chanson. Toujours entre deux mondes, jamais au bon endroit, sa musique se caractérise par l’équilibre entre la délicatesse de la dream-pop et le chaos du psychédélisme. ... more
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