1. |
Calorifère
03:34
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Matin de froid
Loin de tes doigts
Ailleurs de toi
Ma tête perdue dans tes beaux-arts
Dans les draps, sommeille encore
Mon âme aigri
Nord Sibérie
Tu m'incendies
La douceur de tes décors
Dans tes parfums je m'endors
Ma, ah, ah, ma maison c'est toi
Ma, ah, ah, ma maison c'est toi
Ma, ah, ah, ma maison c'est toi
Ma, ah, ah
Moi, mammifère
Toi, ma tanière
Calorifère
Quand l'hiver amène la mort
Ma canicule c'est ton corps
Ma, ah, ah, ma maison c’est toi
Ma, ah, ah, ma maison c’est toi
Ma, ah, ah, ma maison c’est toi
Ma, ah, ah, ma maison c’est toi
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2. |
J'hallucine
03:27
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Ce serait tellement simple de se perdre
Se perdre dans l'autre et dans la matière
Nos corps tangibles en photosynthèse
J'hallucine l'amour toujours facile et cohérent
Les pupilles en carence du grand air
Elles voudraient voir défiler l'éphémère
Des astres roses fuchsia sur pastel gras
J'hallucine des routes à la Kerouac sur mon divan
Contemplation
Désillusion de salon
Vie de fiction
Intoxication
Contemplation
Désillusion de salon
Vie de fiction
Intoxication
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3. |
Microcosme
03:19
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Se tuer à vouloir tout accomplir
Pour vaincre l’éphémère
Seul devant tout, l’immensité
Disparaître à la terre
Sur l’importance de mon être
Je me fais des idées
Les cratères sous mes yeux
Se creusent peu à peu
Le monde brûle autant que mon corps
Nos carcasses se font métaphores
Microcosme
Mon passage est micronuscule
Pareil à la poussière
Sur le prix que vaut ma tête
Je ne me fais plus d’idées
Les cratères sous mes yeux
Se creusent peu à peu
Le monde brûle autant que mon corps
Nos carcasses se font métaphores
Nos carcasses se font métaphores
Microcosme
Microcosmos
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4. |
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Voir Microcosme sur Wikipedia
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5. |
Brouhaha
05:23
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Un café́ froid ou une bière flatte
Zéro différence
L'image dans le miroir
Zéro ressemblance
Statue de cire
Plantée devant son délire
Brouhaha
Vapeurs pour nuire encore
Créer l'absence
La fourmilière s'éveille
En foule immense
Bouchon de cire
Tanné de s'entendre rien dire
Brouhaha
Entre mes tympans
Y'a un vacarme en silence
J'ai peur de pu jamais entrer en transe
Me laisser doucement bercer dans l'aisance
Je suis comme un rêve qui s'est tué devant l'avenir
Brouhaha
Brouhaha
Brouhaha
Brouhaha
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6. |
[...]
01:56
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7. |
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La nuit qui s’éclaire
C’est l’heure des damnés
Des âmes entre les mondes
Cruel berceau des lampadaires
Aux couleurs putréfiées
Sur le tableau de mes dérives
Régurgit d’errance
Une soif à outrance
Refus d’abstinence
Demain on recommence
La même offense
La vie se déferle
Sur les corps morts
et les pas chancelants
Au son du chant des gabians
Tout sourire, regard béant
Régurgit d’errance
Joyeuse décadence
Encore pour une danse
Demain on recommence
Les réjouissances
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8. |
Ici-bas
04:26
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Desfois ça me revient
Ta présence
Trêve d'amnésie
Faut-tu que je prie
Faut-tu que je gueule au meurtre
Pour demander
Qu'est-ce que t'en penses
De mes errances
Ici-bas
Pris entre ciel et terre
Toujours un goût amer
Est-ce que tu le vois que je me perds
Est-ce que desfois tu ris
Dans ta barbe
Jamais poussée
Est-ce que t'aurais fait mieux
De ma vie
Si tu l'avais
Qu'est-ce que t'en penses
De mes déviances
Ici-bas
Pris entre ciel et terre
Toujours un goût amer
Est-ce que tu le vois que je me perds
Pris entre ciel et terre
Toujours un goût amer
Est-ce que tu le vois mon frère
Pris entre ciel et terre
Toujours un goût amer
Est-ce que tu me vois mon frère
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9. |
L'Heptade
02:05
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Quand l'hiver amène la mort
On peut hiberner bien fort
S'aimer en écoutant l'Heptade
En écoutant l’Heptade
En écoutant l’Heptade
En écoutant l’Heptade
En écoutant l’Heptade
Buzzé
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10. |
Clopin-Clopant
03:53
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Je sens que je m'éparpille
Ma tête tourne, le temps s'éclipse
J'espère le lever du jour
Pour tout recommencer
(en attendant)
Je suis le cours, encore
Clopin-clopant, vers mes déboires
Je suis le cours, encore
Noyer mon sort dans l’illusoire
Mes désirs jubjotent sans cesse
Dilués d’un zeste amer
Je veux reprendre le contrôle
Mais le torrent pousse trop fort
(en attendant)
Je suis le cours, encore
Clopin-clopant, vers mes déboires
Je suis le cours, encore
Noyer mon sort dans l’illusoire
Je cours, encore
Clopin-clopant, vers mes déboires
Je suis le cours, encore
Conduit par la peur de ne plus y croire
Je cours, encore
Clopin-clopant, vers mes déboires
Je suis le cours, encore
J’préfère rêver dans mes angles morts
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Pastel Barbo Quebec City, Québec
Projet indie-psychédélique de la ville de Québec, Pastel Barbo c’est l’entité aux multiples visages dont se sert l’auteur- compositeur-interprète Gabriel Brisson pour se mettre au monde en chanson. Toujours entre deux mondes, jamais au bon endroit, sa musique se caractérise par l’équilibre entre la délicatesse de la dream-pop et le chaos du psychédélisme. ... more
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